Buster Keaton
Filmographie (long-métrage
seulement) :
1-
The Three Ages (1923),
durée : 63 minutes
2-
Our Hospitality (1923),
durée : 74 minutes
3-
Sherlock Jr. (1924), durée :
44 minutes
4-
The Navigator (1924), durée :
60 minutes
5-
Seven Chances (1925), durée :
72 minutes
6-
Go West (1925), durée : 68
minutes
7-
Battling Butler (1926),
durée : 72 minutes
8-
The General (1926), durée :
75 minutes
9-
College (1927), durée : 66
minutes
10-Steamboat
Bill, Jr (1928), durée : 72 minutes
11-The Cameraman
(1928), durée : 75 minutes
Long-métrage choisi : The General
Résumer :
The General est un long-métrage réaliser par
Buster Keaton, qui est aussi l’acteur principale de ce film. Dans ce film,
Buster Keaton incarne un jeune homme du nom de Johnnie, un mécanicien de
locomotive lors de la guerre de
Sécession. Johnnie est amoureux d’une jeune femme du nom d’Annabelle, mais
celle-ci ne veut rien savoir de lui, puisqu’il ne peu s’engager dans l’armée.
Cependant, le train du personnage principal est volé par des espions de l’Union
et Annabelle se trouve prisonnière à bord de ce train. Johnnie n’hésite pas
deux secondes à partir à la poursuite de son propre train, afin de sauver sa
bien-aimée. Il fini par s’infiltrer dans l’armé ennemi et délivrer Annabelle, pour
ensuite s’enfuir avec elle en locomotive et être poursuivi par des soldats
ennemis. Après plusieurs péripéties et après avoir aidé sa patrie a vaincre
l’Union, Johnnie fût nommé lieutenant et retrouva son amoureuse, Annabelle.
Caractéristiques du Burlesque :
1-
Le running gag : Il y a un running gag vers la fin du film, lorsque Johnnie est en
pleine bataille sur le bord d’un pond qui vient tout juste de s’effondrer et
qu’il essaie de sortir son épée de son étui, mais que simplement le manche lui
reste dans la main. Chaque fois qu’il agite son épée, la lame se détache du
manche et cela arrive plusieurs fois, ce qui créer ce running gag qui se
termine lorsque sa lame, se détachant de son manche, vas tuer un tireur de
l’armée ennemi. De plus, il y a un autre running gag, lorsque les personnages
principaux s’enfuient du territoire ennemi, durant la nuit. les deux
personnages se coincent le pied dans un piège à ours, en premier Annabelle se
coince le pied, ensuite Johnnie se coince les mains en essayant de libérer son
amoureuse et pour finir il se coince le pied avant de jeter le piège loin
d’eux.
2-
La chute corporelle : Il y a une chute corporelle, lorsque Johnnie essai de sauter par
dessus le feu qu’il vient d’allumer sur le pont et qu’en sautant, il passe a
travers le pont et vas directement plonger dans la rivière se trouvant en
dessous de celui-ci.
3-
Rapidité des mouvement : On voit la rapidité des mouvements dans ce film, par exemple, lorsque
Johnnie réalise qu’il est entrain de se faire voler sa locomotive et qu’il se
met a courir après, il cours extrêmement vite, c’est bien sur filmer de façons
accélérer. De plus, lorsque Johnnie averti sa patri de l’arrivée de l’armée
ennemie et que tout les soldats s’empressent d’aller se battent, il passent à coté d’Annabelle et Johnnie à une vitesse
éclaire, ce qui démontre la rapidité des mouvements dans ce film burlesque.
4-
Les gags : Il y a plusieurs gags dans ce long-métrage, par exemple, lorsque le
personnage principale rencontre des soldats et leurs explique qu’il vient de se
faire voler sa locomotive. Les soldats embarquent donc dans un wagon afin de
l’aider dans sa poursuite, mais lorsque Johnnie part, le wagon portant les
soldats ne sui pas la locomotive, puisqu’il n’est pas attaché à celle-ci. Alors,
les soldats restent au point de départ, mais Johnnie ne le remarque pas et part
tout heureux en pensant être accompagné
par plusieurs soldats.
5-
Le slapstick : Il y a une farce visuelles très rapides, lorsqu’un soldat ennemi,
évanoui dans la locomotive ou se trouvent Johnnie et Annabelle, se réveille
lorsque les deux personnages principales s’enfuient des soldats ennemis, mais
se fait rapidement cogné par une buche chambranlante qui le replonge dans un
léger coma.
Critique :
J’ai bien aimé ce long-métrage,
car malgré l’absence de paroles, le récit restait très captivant. De plus, j’ai
vraiment apprécié ce film, car l’histoire n’est pas seulement constituée de
gags absurdes, il y a aussi des moments plus sérieux et sentimentaux. J’ai
aussi aimé ce film pour la précision des gags, Buster Keaton porte
effectivement bien son titre de « mécanicien du gag», car ses gags son
tous minutieusement pensés et bien placés. Pour finir, j’ai beaucoup aimé la
musique présente dans ce film, elle donne encore plus d’importance aux gags. De
plus, sans la musique l’histoire ne saurait pas aussi captivante, car elle
remplace l’absence des paroles, elles nous aident à comprendre l’émotion
présente dans les différentes scènes. Sans musique, ce film n’intéresserait
personne.
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