lundi 30 novembre 2015

Roman Polanski

 
Oliver Twist
 

Résumer

Le film Oliver Twist est un film réalisé par Roman Polanski, ce film est une adaptation du roman de Charles Dickens et ce film est sorti en 2005. C’est l’histoire d’un jeune orphelin qui se retrouve dans un hospice, puis chez un croque-mort. Oliver s’enfuit de chez le croque-mort afin d’aller à Londres. Là-bas, le petit orphelin rencontre une bande de petits voyous dirigés par un homme appelé Fagin. Cet homme finit par prendre en charge Oliver.


Critique

J’avais déjà écouté ce film plus jeune et je me rappelle avoir été un peu troublé par ce film et maintenant que je l’ai visionné à nouveau, je comprends pourquoi. Je crois que j’avais trouvé ce film vraiment triste et j’avais peur d’un jour être aussi impuissante devant quelque chose. En effet, j’ai trouvé ce film très triste et surtout frustrant, puisque c’est frustrant de voir un jeune garçon (dans ce cas-ci Oliver Twist) se faire malmené ainsi et ne pouvoir rien y faire. Malgré la tristesse du film, j’ai trouvé quelques scènes assez drôles et agréables à regarder. Bref, j’ai bien aimé ce film, j’ai surtout beaucoup aimé le personnage de Fagin et bien sûr, le petit Oliver Twist. Je donnerais à ce film un bon 7.5 sur 10.

 
 
 
 

vendredi 27 novembre 2015

L'interview qui tue!

 
L'interview qui tue!

Wow! j'ai écouté ce film au moins 10 fois, en anglais et en français et il est toujours aussi drôle! Les acteurs principaux, James Franco et Seth Rogen, font vraiment un duo d'enfer! De plus, je trouve le concept du film très original et surtout très... osé, considérant les enjeux sociaux et politiques actuels qui règnent entre les Etats-Unis et la Corée du Nord. Bref, ce film m'a beaucoup fait rire, malgré la simplicité de celui-ci. De plus, se film a été réalisé par Seth Rogen, ce n'est pas le premier film de M.Rogen et je dois avouer qu'il est un très bon réalisateur, bien que ses films soient tous des films de comédies et soient très absurdes, il est très bon dans son genre et j'ai hâte d'écouter son prochain film.

lundi 23 novembre 2015

Analyse du film noir : Un honnêtre citoyen


 

Analyse du film : Un honnête citoyen


Résumer :

Un honnête citoyen est un film noir, mettant en vedette Jamie Foxx et Gerard Butler. Ce film a été réalisé par F. Gary Gray et est sorti en 2009 aux États-Unis et en 2010 en France. Ce film est l’histoire de Clyde Shelton (Gerard Butler), un homme qui a perdu sa femme et sa fille lors d’une invasion à domicile. Cet homme est un honnête citoyen qui veut que justice soit faite. Lors du procès des criminels ayant attaqué et tué la femme et la fille de Clyde, le procureur Nick Rice (Jamie Foxx) signe un accord avec un des deux criminels, l’un deux recevra la peine de mort et l’autre écopera seulement de quelques années en prison, mais c’est le mauvais gars qui se fait exécuter en prison. Cet accord ne plait pas à Clyde et il décide de tuer le criminel restant lorsqu’ il sort de prison. Clyde avoue sa culpabilité et menace Nick de continuer à tuer des personnes importantes s’il ne fait pas en sorte que le système de justice soit rétabli. Clyde orchestre alors une série de meurtres, depuis sa cellule. Nick doit donc arrêter Clyde qui semble pourtant toujours avoir une longueur d’avance sur lui.

10 caractéristiques du film noir :

1-      Le crime

Dès le début du film, le crime est présent. En effet, dès les premières secondes du film, on voit le personnage principale se faire poignarder et sa femme violé et tuer devant ses yeux. De plus, la jeune fille du personnage principale se fait aussi tuer. Tout ça dès les premières secondes du film, ce qui prouve que le crime est bel et bien un thème présent dans ce film. (00 :02 :09)

2-      Le détective

Il y a effectivement un détective dans le film, Nick Rice, il est joué par Jamie Foxx. En fait il est procureur, mais joue plutôt le rôle de détective dans la relation qu’il a avec Clyde Shelton (Gerard Butler). Il apparait dès le début du film lorsqu’on le voit parler avec Clyde, à propos du sort des deux hommes accusés du meurtre de la femme et la fille de Clyde. (00 :07 :25)

3-      L’apparition du sadisme

On voit l’apparition du sadisme, lorsque Clyde torture Darby (l’homme qui as tué et violé sa femme et sa fille). Il le torture en lui paralysant les muscles, mais en faisant en sorte qu’il sente tout et ne s’évanouisse pas en lui injectant de l’adrénaline. Il lui coupe les bras, les jambes, les paupières, les orteils, les doigts, les couilles, le pénis... Bref, tout ça prouve qu’il y a apparition du sadisme dans ce film. (00 :23 :42)

4-      La ville

Le film se passe à Philadelphie, une très grande ville en Pennsylvanie. La ville est un des thèmes du film noir, les grandes villes en particuliers et le fait que ce film se passe dans une grande ville comme Philadelphie prouve que le thème de la ville est présent dans ce film. On devine que l’action du film se passe à Philadelphie, lorsqu’on voit un plan de grand ensemble sur la ville, juste après que Clyde soit parti de son entrepôt désaffecté où  il venait tout juste de décapiter Darby. On voit ce plan exactement en même temps que Sarah dise à Nick qu’elle a sorti tous les dossiers concernant Darby. (00 :26 :36 ) De plus, il est écrit que le film se passe dans la ville de Philadelphie dans le résumer du film, en arrière de la pochette du DVD.

5-      Les huis clos

En effet dans ce film, on aperçoit souvent Clyde dans des lieux clos. Par exemple, durant la majorité du film, on l’aperçoit dans sa cellule, qui est effectivement un lieu assez limité en espace, comme lorsqu’il mange le steak, les asperges et les patates qu’il a commandé à Nick en échange d’informations sur le lieu où était Reynolds. Ce qui prouve une des caractéristiques du film noir. (00 :51 :15)

6-      Des intrigues complexes

Ce film est rempli d’intrigues complexes. En effet, plusieurs intrigues sont présentes dans ce film, en commençant par les sérums trafiqués qui ont été injecté à un des deux hommes impliqués dans le meurtre de la femme et de la fille de Clyde. Le jour e l’exécution de Hemz, le complice de Darby, les produits que le personnel de la prison lui a injecté ont été trafiqués afin que le coupable souffre avant de mourir. Lorsque Nick a observé les bouteilles, sur l’une d’entre elles, il était écrit « On n’échappe pas à la fatalité », c’est ce que Darby a dit à Clyde, lorsqu’il la tabassé et poignarder avant de tuer sa femme et sa fille et c’est aussi ce que Darby a dit à Nick lorsqu’il a signé l’entente (00 :18 :21). Voilà la première intrigue du film. Ils y a aussi d’autres intrigues beaucoup plus complexes, notamment, lorsque Nick réalise que Clyde réussi à tuer et manigancer des meurtres depuis sa cellule. Ce qui est pratiquement impossible! Ceci est l’intrigue la plus complexe du film (01 :03 :08). Bref, ceci prouve la présence d’intrigues complexes dans le film, ce qui est une des caractéristiques du film noir.

7-      Une morale ambivalente

Les représentants de la loi en finissent à adhérer à une morale ambivalente. En effet, lorsque Nick  apprend par un espion, que Clyde ne peut pas être arrêté sauf s’il le tu, Nick est confronté à adhérer à une morale ambivalente. Il demande à la juge qui a traité le cas de Clyde, de violé les droits civiques sacrés de Clyde afin de limité encore plus ses options, ses ouvertures, de résilier sa période de droit de recours pour une semaine, bref, réduire au minimum ses contacts avec d’autres personnes. (01 :01 :43) Ceci prouve la morale ambivalente présente chez Nick, opter pour quelque chose d’illégale afin de nuire à une personne enfermé justement parce qu’elle a fait des choses illégale... De plus, Nick en vient même à déplacer la bombe que Clyde avait fabriquée afin de faire sauter un immeuble, juste en dessous de la couchette de la cellule de Clyde afin de le tuer (01 :38 :50). Alors Nick, un représentant de la loi, tu un criminel afin de l’empêcher de continuer à tuer…Ça prouve qu’il y a effectivement une morale ambivalente dans ce film. Il y a même un moment dans le film où la mairesse elle-même dit ce foutre de briser des lois afin de coincer Clyde. (01 :35 :04)

8-      Le traqué

Dans ce film, c’est Clyde qui est traqué durant tout le film. En effet, les autorités et Nick cherche tout au long du film, comment Clyde fait ses coups à partir de la prison. Du début jusqu’à la fin, Clyde se fait questionner cherché, bref traqué! Un bon exemple, c’est à la fin du film, quand Clyde se déguise en concierge et que Nick le traque dans le tunnel qui mène jusqu’à sa cellule et qu’ensuite comprend où est Clyde et par à sa recherche dans l’immeuble où Clyde sait infiltrer en se déguisant en concierge. (01 :26 :50)

9-      Celui qui cherche la vérité

Dans ce film, celui qui cherche la vérité est bien sur Nick, le détective. En effet, c’est belle et bien Nick qui cherche la vérité dans ce film, puisque c’est lui qui interroge Clyde afin de savoir si c’est bien lui qui a tué Darby et son complice. Il y a quelques scènes dans le film où on voit Nick interroger Clyde sur les meurtres qu’il a commis et les raisons qui le poussent à faire ça, ces scènes prouvent que Nick cherche la vérité. (00 :32 :37) (00 :44 :36) (01 :04 :38)

10-   Le ducth angle

Le dutch angle est un angle de caméra, une prise de vue qui  annonce une suite inquiétante. Il y a un dutch angle lorsque Sarah, l’apprenti de Nick est dans son auto et que tous les autres autos autour d’elle se mettent à exploser. Elle regarde Nick et on comprend avec cette prise de vue, qu’une suite inquiétante l’attend, En effet, l’auto de Sarah explose juste après ce dutch angle. (01 :10 :15)

Critique :

J’ai adoré ce film et je l’ai même écouté plus d’une fois. J’ai beaucoup aimé les nombreuses intrigues et la complexité de celles-ci. Les acteurs jouent très bien et la fin est totalement inattendue. Ne jamais savoir comment Clyde fait pour tuer depuis sa cellule, nous pousse à regarder et être très attentif au film, car on veut comprendre et savoir comment il si prend. Bref, le film est vraiment intéressant à regarder et pleins d’évènement inattendues arrivent et nous surprennent à tout coup. La morale ambivalente du film est aussi très intéressante, car en tant que spectateur, tu ne sais plus de quel bord pencher, d’un côté on admire Clyde et son ingéniosité et on comprend aussi son envie de vengeance. D’un autre côté, on comprend que tuer autant de personnes n’est pas correct du tout et qu’il faut arrêter le massacre. De plus on veut absolument arrêter Clyde afin d’ENFIN savoir comment il fait. Bref, je recommande ce film à tout le monde.

samedi 7 novembre 2015

Pixels


PIXELS

J'ai beaucoup aimé le film Pixels, un film réalisé par Chris Columbus. C'est une comédie de science-fiction, mettant en vedette certains acteurs bien connues soit: Adam Sandler, Peter Dinklage et Kevin James. J'ai beaucoup aimé ce film, même si le thème principale de ce film, les jeux d'arcades, ne soit pas quelque chose que j'ai vraiment connu, j'ai beaucoup aimé le concept. Les effets spéciaux sont vraiment bien conçus. Bien sûr, Adam Sandler est toujours aussi drôle et ses acolytes tout autant. Selon moi, le fait que ce film m'ai plus, même si ces jeux d'arcades ne sont pas vraiment de mon temps, prouve que c'est vraiment un bon film, car il vient accrocher du monde qui n'ont même pas vécu cette frénésie de Pacman, Donkey Kong et autres. De plus, ce film m'a donné la piqure des jeux d'arcades, en l'écoutant j'avais envie d'aller essayer quelque uns de ces jeux. Bref, c'est un film léger et agréable à regarder et je le conseil à tout le monde.

vendredi 6 novembre 2015

Analyse du film fantastique : Bienvenue à Zombieland

 

Bienvenue à Zombieland

Résumer

Bienvenue à Zombieland est un film réalisé par Ruben Fleischer, ce film est sorti en 2009 et il met en vedette Jesse Eisenberg, Woody Harrelson, Emma Stone et Abigail Breslin. C'est l'histoire d'un jeune  geek qui doit affronter une apocalypse dut à une mutation des humain en Zombie. Ce jeune homme, ayant pleins de phobies, réussit à survivre dans ce nouveau monde de zombie, grâce à sa liste de règlement à respecter. Un bon jour, il fait la rencontre de Tallahassee (Woody Harrelson) un tueur de zombie hors pair qui est à la recherche d'un twinky. Les deux survivants décident de faire un bout de chemin ensemble et finissent par rencontrer deux jeunes sœurs, Wichita (Emma Stone) et Little Rock (Abigail Breslin) qui sillonnent les routes afin de se rendre à un parc d'attraction situé sur la côte ouest des États-Unis. Ils se font berner par elles, mais finissent par tous se retrouver et continuer leurs route ensemble.

10 caractéristiques du fantastique

1- Personnages Typiques : Le mort vivant (zombie)

Dans Zombieland, il y a des zombies. Les zombies sont des personnages typiques du film fantastique. Il y a des zombies à plusieurs reprises dans ce film. D'ailleurs dès le début du film, on voit deux zombies, lorsque Colombus (Jesse Eisenberg) cours dans un stationnement d'une station-service, afin de fuir ces deux zombies et qu'au même moment on voit sa première règles : Avoir du cardio, en grosses lettres dans le coin de l'écran. (00 :06 :05)

2- L'univers nocurne

Les images sombres et contrastés sont dominantes dans le film, ce qui créer l'univers nocturne du fantastique. Comme à la fin du film, lorsque les filles sont prises en haut d'un manège avec pleins de zombies qui les guettent et que Colombus vas les sauver, pendant que Tallahassee attire tous les zombies vers lui pour laisser la voie libre à son compagnon de route. Toute cette scène se passe dans un univers nocturne où les images sont sombres et contrastées. (01 :13 :18)

3- Le son

Le son et la musique joue un gros rôle dans ce film. Comme quand les 4 personnages principaux du film son dans la maison de Bill Murray et qu'on voit Wichita frapper une balle de golf sur Tallahassee et qu'à ce moment, lorsque Tallahassee est part terre assommé, Bill Murray arrive, maquillé et déambulant comme un zombie, À ce moment-là, la musique nous suggère le danger, la terreur, mais quelque seconde plus tard, après que Bill Murray est reçu un coup de bâton de golf de la part de Wichita, on réalise qu'il n'est pas un zombie et qu'il ne représente absolument pas une menace. Cet exemple, prouve à quelle point la musique du film est importante et nous amène à imaginer des faits ou encore à amplifier un sentiment. Sans musique, nous aurions peut-être pas autant cru au fait que Bill Murray étais dangereux, mais la musique suggérais le danger, alors nous l'avons cru d'avantage. (00 :50 :19)

4- Angles de caméra

Il y a des angles de caméra : plongé et contre-plongée qui sont accentuées dans ce film. Par exemple, il y a un angle de caméra en contre-plongée accentué lorsque Colombus, à la fin du film, dans le parc d'attraction, tu le clown zombie avec une grosse massue. À ce moment-là, on voit bien en contre-plongée Colombus exploser la tête du zombie avec la massue, et la tête du zombie explosé juste devant la caméra. De plus, certains éclats de sang éclaboussent dans la caméra tellement le contre-plongée, dans cette scène est accentuée. Notamment grâce à la caméra placer juste en arrière de la tête du zombie, qui créer une vue en amorce sur le personnage principal. C'est ce qui accentue le contre-plongée. (01 :18 :13)

5- Définition

Zombieland est un film fantastique, puisque ce film se passe dans un univers tout à fait crédible et reconnaissable(États-Unis) et il incorpore des éléments irréaliste, dans ce cas si, des zombies. Le début du film introduit très bien tous ces faits. On y voit la maison blanche et du feu partout, des voitures renversées, le drapeau des États-Unis. Dans ce décors un peu chaotique, mais encore très reconnaissable, on y aperçoit un zombie (élément irréaliste dans un décor  réaliste) et on voit même ce zombie sauter sur la personne qui filmais ce décor chaotique et le manger juste devant la caméra. Ce qui prouve que ce film est belle et bien un film fantastique digne de ce nom et le début du film présente parfaitement, en images, la définition du film fantastique. (00 :00 :48)

6- Les lieux

Ce film se passe une bonne partie du temps dans un endroit clos, une voiture. Par exemple, quand ils font toute la route jusqu'à Hollywood et qu'ils conduisent toute la nuit un après l'autre, même la petite Little Rock qui à seulement 12 ans. Cette scène et comme plusieurs autres, ce passe dans la voiture (un endroit clos). Ce qui démontre bien l'une des caractéristiques du film fantastique, les lieux clos. De plus, une autre partie du film se passe dans le domaine de Bill Murray, qui est assez grand et je suis sûr que la majorité du monde seront d'accord avec moi, pour dire que la maison de M. Murray peut être considérée comme un genre de château. Ce qui est également dans la liste des lieux propres aux films fantastiques. Donc, ces éléments du film prouvent le genre fantastique de celui-ci. 1- (00 :45 :00)  2-(00 :55 :51)

7- L'inattendue

Dans ce film, les zombies (créatures irréalistes) surgissent un peu partout de façon inattendue. Par exemple au début du film, lorsque Columbus réussit à se réfugier dans un auto, après avoir tourné en rond en courant dans le stationnement de la station-service, pour ne pas se faire attraper par deux morts-vivants. Lorsqu'il est enfin en sécurité dans la voiture, un zombie apparaît sur la banquette arrière et c'est totalement inattendu. Cet exemple démontre bien que le fantastique dans ce film, dans ce cas-ci les zombies, surgissent de façon  inattendue. (00 :06 :24)

8- Thème

Dans Zombieland, un thème important est la lutte du bien et du mal. En effet, dans ce film les zombies son bien sur considéré comme le mal, puisqu'ils essaient de manger les humain et donc, de les tuer. Les quatre personnages principaux dans ce film représentent, évidemment, le bien. Pour survivre, ils doivent lutter contre les zombies (le mal) et ceci est démontrer tout au long du film. La scène dans le parc d'attraction, à la fin du film, lorsque Tallahassee attire presque tous les zombies, s'enferme dans un stand à toutous, et ce met à tous les tuer. Cette scène illustre très bien le thème de la lutte du bien et du mal, car on voit bien que les zombies essaient de défoncer les murs et les grillages afin de dévorer et tuer Tallahassee, ce qui est assez représentatif du mal, et que Tallahassee, qui représente le bien, les tue tous un après l'autre. On ne peut pas mieux représenter la lutte du bien du mal. (01 :16 :12)

9- L’anormalité

Dans Zombieland, l’anormalité est un autre thème très présent. En effet, les zombies en tant quel, son des créatures anormales. Les humains, en se transformant en zombies subissent une altération du corps humain. Une scène dans Zombieland  l’illustre parfaitement. Lorsque Colombus est chez lui et que sa voisine qu’il appelle affectueusement 406 (Amber Heard) cogne à sa porte en panique et que Columbus lui ouvre et qu’après lui  avoir expliqué pourquoi elle était en panique, les deux personnages décident de faire un petit somme. La scène d’après, on voit Columbus qui se réveille, et 406 qui le regarde fixement et qui s’apprête à lui sauter dessus pour le dévorer. À ce moment-là, on voit l’altération du corps humain lorsqu’il est infecté par le virus. On voit 406 très belle et en pleine forme et ensuite, la scène d’après on voit 406 vomissant du sang noir, toute d’désarticuler et le vidage délabrer. Quand elle attaque Colombus, on voit encore mieux l’anormalité, car elle se fait casser la cheville et pas juste un peu. L’os de sa cheville ressort et un humain normal ne continuerai pas à marcher après s’avoir faite fracturer la cheville à ce point-là, mais puisqu’il y a altération du corps humain, le zombie continue à marcher peut-importe sa blessure. (00 :16 :27)

10-  Le film d’horreur

Zombieland est un film fantastique du genre : Comédie horrifique. Ce qui  veut dire que c’est une comédie et à la fois un film d’horreur. On perçoit bien le coté comique du film et pour ce qui est du côté horreur, certaine scène le démontre bien. Par exemple, lorsque les personnages principaux décident d’Aller au parc d’attraction en pensant qu’il n’y aurait aucun zombie. En effet il n’y avait aucun zombie, jusqu’à ce que les deux filles allument toutes les lumières et parte les manèges. Les deux filles étaient sur un manège, toutes heureuses d’être enfin à un endroit où il n’y a pas de zombie et à ce moment- là, une très grande quantité de zombie entre dans le parc d’attraction. Elles doivent alors s’enfuir et trouver  un endroit sûr ou se cacher, ce qui prouve que la réalité (les zombies) les ont rattrapés et qu’elles ne pourront pas fuir cette réalité, peu importe où elles vont. Ce qui démontre bien l’aspect  horrifique de ce film, puisque les personnages ne peuvent pas échapper à la réalité à laquelle ils sont confrontés. (01 :06 :24)

Critique

Un de mes films favoris ! J’ai adoré ce film fantastique. Le côté comique, fait de ce film un classique. Il y a un aspect comique à chaque scène, que ce soit la voit du narrateur (Colombus), un geste ou une parole d’un des personnages, il y a de l’humour à chaque scène et c’est ce qui donne le ton au film. Même si il y a des scènes plus stressantes et plus explicites en matière de sang et d’explosion de cervelles de zombies, le côté comique vient alléger le tout et rend le film accessible à un plus grand public. De plus, les acteurs sont excellents. On s’attache aux personnages et ça nous garde accrocher au film. Par exemple, Tallahassee qui est un dur à cuir, donnant l’impression d’être impitoyable et sans merci, devient un de mes personnages préférer. Notamment pour son acharnement à trouver un twinky, qui vient rendre le coté dur à cuir de ce personnage un peu moins crédible et donne un côté absurde au film, ce qui le rend encore plus comique et encore meilleur. Bref, je trouve que ce film a été réalisé de manière impeccable et je l’ai adoré. Je conseille ce film à tout le monde, il vaut vraiment la peine d’être écouté. De plus, la musique et les effets sonores dans ce film sont très bons.

 

.

 

mardi 3 novembre 2015

The social network

                      

The social network

The social network, j'ai adoré ce film! Ce film, réalisé par David Fincher est sorti en 2010. Premièrement, j'adore et j'admire Jesse Eisenberg, l'acteur qui incarne Mark Zuckerberg, ce qui m'a justement poussé à regarder ce film, qui es d'ailleurs à mon sens un de ses meilleurs rôles. J'ai beaucoup aimé le fait de voir en alternance le développement du réseau social de M. Zuckerberg lorsqu'il était encore à Harvard et le déroulement des poursuites auxquelles il a dut faire face, justement à cause de la création de ce réseau social. J'avais vraiment toujours envie dans savoir d'avantage sur M.Zuckerberg, car il est présenter comme un personnage incroyablement intelligent, mais très spécial et peu agréable à fréquenter. Malgré ça, je me suis tout de même attaché à ce personnage et je voulais toujours en savoir d'avantage sur sa personne et sur ses idées à propos des poursuites qui lui faisait faces. Bref, je conseil ce film à tout le monde, c'est un film très intéressant à écouter et c'est assuré que vous allez y rester accroché jusqu'à la fin.
 

samedi 31 octobre 2015

Analyse du film : Cours Lola cours


 
                                           Rapport d’observation sur le film : Cours Lola  Cours!

Résumer

Cours Lola cours! Est un film Allemand réaliser par Tom Tykwer, sortit en 1998, mettant en vedette les acteurs : Franka Potente et Moritz Bleibtreu. C’est l’histoire d’une fille du nom de Lola qui doit trouver 100 000 Marks afin de sauver son copain qui doit ce montant d’argent à une personne très importante qui le tuera s’il n’a pas les 100 000 marks pour midi. Mani, le copain de Lola, appel celle-ci afin de lui expliquer son problème. Il lui expliquer qu’il lui faut 100 000 marks pour midi, sinon il mourra. Alors, Lola part  à la course rejoindre son père qui travaille dans une banque, afin de lui demander 100 000 Marks. Ce film est divisé en trois épisodes où Lola essaie de sauver son copain en trouvant 100 000 Marks. Les trois épisodes diffèrent tous un peu, mais commence tous de la même façon et ont tous le même but.

5 éléments en lien avec le montage

1-      Coupure franche

Il y a des coupures franches, lorsque Lola cours sur le pont et qu’on l’a voit courir de la droite vers la  gauche et ensuite au ralentit. C’est là qu’il y a des coupures franches qui laissent voir Lola courir face à la caméra et ensuite de profil, en alternance, environ 10 fois dans cette scène, ce qui créer un enchainement entre les plans de la scène. (00 :14 :10)

2-       La scène alternée

Il y a une scène alternée, lorsqu’on voit Lola courir dans le couloir de la banque où travail son père et qu’ensuite on voit le père de Lola, dans son bureau, avec sa maitresse qui lui demande s’il veut un bébé avec elle. On aperçoit les deux scènes en alternance, puisque ces deux actions sont simultanées. Le réalisateur nous montre ce qui ce passe dans le bureau du père de Lola, pendant que Lola court vers celui-ci. (00 :19 :38)

3-      L’ellipse

Il y a ellipse dans le temps, au début du deuxième et du troisième épisode, car on ne voit pas la discussion entre Lola et Manni, on voit juste le téléphone tomber et Lola partir à courir. Il y a donc ellipse dans le temps, puisque le réalisateur à couper au montage la répétition de cette discussion entre les deux amoureux aux deux derniers épisodes du film, afin de ne pas allonger inutilement le film, puisque la discussion est la même à chaque fois. 1- (00 :35 :07) 2-(00 :54 :56)

4-      Surimpression

Il y a une surimpression  lorsque Lola cours sur le pont, juste après les coupures franches où l’on voit Lola courir de profil et ensuite de face en alternance au ralenti, environ 10 fois. C’est juste après cette enchainement de plans, que l’on voit le plan rapproché épaule de Lola, face à la caméra ,entrain de courir, s’effacer tranquillement en donnant place au plan moyen ,qui embarque sur le plan précédant, qui montre Lola courir face à la caméra. Les deux plans (plan rapprocher épaule et plan moyen) sont mis en superposition afin d’enchainer avec le plan moyen de Lola courant sur le pont. (00 :14 :25)

5-      Le raccord regard

Il y a un raccord regard entre Manni et Lola, quand Manni est dans l’épicerie et qu’il vient de menacer tout le monde avec son arme et qu’il voit Lola à l’extérieur, par la fenêtre du super-marcher. Il la regarde et lui parle, mais on ne voit pas Lola, ça nous laisse croire que le plan d’après saura Lola, et c’est ce qui arrive. Il y a raccord regard, car le plan suivant le regard hors champ de Manni, est ce qu’il regardait, dans ce cas si, Lola. (00 :28 :18)

5 exemples flagrants de différents plans

1-      Travelling circulaire

Il y a un magnifique travelling circulaire autour de Lola, au début du film. Lorsque Lola raccroche le téléphone après avoir parlé à Manni et pense à qui elle pourrait bien demander de l’aide, c’est à ce moment-là que la caméra fait le tour de Lola à plusieurs reprises assez rapidement. Pendant ce travelling circulaire là, plusieurs images fixes apparaissent devant Lola, ce sont les personnes auxquelles elle pense. (00 :11 :31)

2-      Gros plan

Il y a un gros plan sur le visage de Lola, lors du dernier épisode,  lorsqu’elle décide de fermer les yeux en courant et d’attendre de trouver quelque chose à faire. Ce gros plan ce passe juste avant qu’elle passe à deux doigt de se faire frapper par un gros camion et quand même temps, elle aperçoit le casino et décide d’y aller. (01 :04 :03)

3-      Over Head shot

Il y a un incroyable overhead shot sur Lola qui court, lorsqu’elle traverse une grande cours de pavé où il y a dans le cadre de ce plan, une très grosse fontaine de pierre à droite. Cet overhead shot ce produit pas très longtemps après que Lola fut mettre  en-dehors de la banque où travaille son père et du moment où elle a demandé l’heure a une vieille dame. (00 :24 :39)

4-      Plan subjectif

Il y a un beau plan subjectif, lorsque Lola court et passe au milieu d’un attroupement de religieuses. Il y a un plan subjectif, car on voit ce que Lola voit et on peut aussi voir qu’elle regarde quelque unes de ces sœurs au moment où elle passe entre celles-ci. (00 :37 :47)

5-      Le plan de grand ensemble

Il y a un très beau plan de grand ensemble, dès le premier plan du film. Il y a un plan de grand ensemble sur la ville où ce passe l’action du film. La caméra cadre la ville de façons très vaste et on ne peut pas percevoir les personnages ou encore les rues de la ville, ce qui prouve que c’est belle et bien un plan de grand ensemble. (00 :04 :56)

Critique

J’ai bien aimé ce film, surtout pour son originalité. J’ai beaucoup aimé le faite que le  film soit divisé en 3 épisodes et que ces 3 épisodes commencent toujours de la même façon, mais  ne finissent jamais pareils. En fait, il ne suffisait qu’un seul petit évènement anodin soit modifié pour que le cours de l’histoire change complétement, ce qui est réellement intéressant à regarder. J’ai aussi beaucoup aimé l’action constante dans ce film, le fait que le personnage principal n’arrête presque jamais de courir  me stressait d’avantage. Il n’y avait presque pas de moment de pause, alors il pouvait se passer quelque chose d’important à tout moment, ce qui me poussait à rester attentive à l’action. Je trouve que la musique était aussi très bonne, elle ajoutait un côté un peu mystérieux et étrange au film.

 

 

samedi 10 octobre 2015

Analyse du film burlesque : The General et filmographie de Buster Keaton

Buster Keaton

Filmographie (long-métrage seulement) :

1-    The Three Ages (1923), durée : 63 minutes
2-    Our Hospitality (1923), durée : 74 minutes
3-    Sherlock Jr. (1924), durée : 44 minutes
4-    The Navigator (1924), durée : 60 minutes
5-    Seven Chances (1925), durée : 72 minutes
6-    Go West (1925), durée : 68 minutes
7-    Battling Butler (1926), durée : 72 minutes
8-    The General (1926), durée : 75 minutes
9-    College (1927), durée : 66 minutes
10-Steamboat Bill, Jr (1928), durée : 72 minutes
11-The Cameraman (1928), durée : 75 minutes

Long-métrage choisi : The General

Résumer :

The General est un long-métrage réaliser par Buster Keaton, qui est aussi l’acteur principale de ce film. Dans ce film, Buster Keaton incarne un jeune homme du nom de Johnnie, un mécanicien de locomotive lors  de la guerre de Sécession. Johnnie est amoureux d’une jeune femme du nom d’Annabelle, mais celle-ci ne veut rien savoir de lui, puisqu’il ne peu s’engager dans l’armée. Cependant, le train du personnage principal est volé par des espions de l’Union et Annabelle se trouve prisonnière à bord de ce train. Johnnie n’hésite pas deux secondes à partir à la poursuite de son propre train, afin de sauver sa bien-aimée. Il fini par s’infiltrer dans l’armé ennemi et délivrer Annabelle, pour ensuite s’enfuir avec elle en locomotive et être poursuivi par des soldats ennemis. Après plusieurs péripéties et après avoir aidé sa patrie a vaincre l’Union, Johnnie fût nommé lieutenant et retrouva son amoureuse, Annabelle.

Caractéristiques du Burlesque :

1-    Le running gag : Il y a un running gag vers la fin du film, lorsque Johnnie est en pleine bataille sur le bord d’un pond qui vient tout juste de s’effondrer et qu’il essaie de sortir son épée de son étui, mais que simplement le manche lui reste dans la main. Chaque fois qu’il agite son épée, la lame se détache du manche et cela arrive plusieurs fois, ce qui créer ce running gag qui se termine lorsque sa lame, se détachant de son manche, vas tuer un tireur de l’armée ennemi. De plus, il y a un autre running gag, lorsque les personnages principaux s’enfuient du territoire ennemi, durant la nuit. les deux personnages se coincent le pied dans un piège à ours, en premier Annabelle se coince le pied, ensuite Johnnie se coince les mains en essayant de libérer son amoureuse et pour finir il se coince le pied avant de jeter le piège loin d’eux.
2-    La chute corporelle : Il y a une chute corporelle, lorsque Johnnie essai de sauter par dessus le feu qu’il vient d’allumer sur le pont et qu’en sautant, il passe a travers le pont et vas directement plonger dans la rivière se trouvant en dessous de  celui-ci.
3-    Rapidité des mouvement : On voit la rapidité des mouvements dans ce film, par exemple, lorsque Johnnie réalise qu’il est entrain de se faire voler sa locomotive et qu’il se met a courir après, il cours extrêmement vite, c’est bien sur filmer de façons accélérer. De plus, lorsque Johnnie averti sa patri de l’arrivée de l’armée ennemie et que tout les soldats s’empressent d’aller se battent, il passent  à coté d’Annabelle et Johnnie à une vitesse éclaire, ce qui démontre la rapidité des mouvements dans ce film burlesque.
4-    Les gags : Il y a plusieurs gags dans ce long-métrage, par exemple, lorsque le personnage principale rencontre des soldats et leurs explique qu’il vient de se faire voler sa locomotive. Les soldats embarquent donc dans un wagon afin de l’aider dans sa poursuite, mais lorsque Johnnie part, le wagon portant les soldats ne sui pas la locomotive, puisqu’il n’est pas attaché à celle-ci. Alors, les soldats restent au point de départ, mais Johnnie ne le remarque pas et part tout heureux  en pensant être accompagné par plusieurs soldats.
5-    Le slapstick : Il y a une farce visuelles très rapides, lorsqu’un soldat ennemi, évanoui dans la locomotive ou se trouvent Johnnie et Annabelle, se réveille lorsque les deux personnages principales s’enfuient des soldats ennemis, mais se fait rapidement cogné par une buche chambranlante qui le replonge dans un léger coma.

Critique :


J’ai bien aimé ce long-métrage, car malgré l’absence de paroles, le récit restait très captivant. De plus, j’ai vraiment apprécié ce film, car l’histoire n’est pas seulement constituée de gags absurdes, il y a aussi des moments plus sérieux et sentimentaux. J’ai aussi aimé ce film pour la précision des gags, Buster Keaton porte effectivement bien son titre de « mécanicien du gag», car ses gags son tous minutieusement pensés et bien placés. Pour finir, j’ai beaucoup aimé la musique présente dans ce film, elle donne encore plus d’importance aux gags. De plus, sans la musique l’histoire ne saurait pas aussi captivante, car elle remplace l’absence des paroles, elles nous aident à comprendre l’émotion présente dans les différentes scènes. Sans musique, ce film n’intéresserait personne.

lundi 28 septembre 2015

Analyse du film : Kill Bill (Vol.1)




Analyse du film Kill Bill (Vol.1)

Résumer : Kill Bill, un film d’action réalisé par Quentin Tarantino, est sortie le 10 Octobre 2003. Kill Bill (Volume 1) est bien sûr la première partie puisqu’il y a un deuxième Kill Bill. Ce film présente un style de narration non linéaire, il a comme thème principale la vengeance et ce premier volume a aussi été très inspiré par les films de sabre japonais. C’est l’histoire d’une femme qui se fait battre à mort et se fait tirer dessus la journée de ses noces. Cependant cette femme ne meurt pas, elle se réveille après 4 ans de coma, ayant comme seul but de tuer toutes les personnes ayant participé au massacre de ses noces, y compris ce fameux Bill. Pour arriver à ses fins, elle part au japon pour se faire forger un katana digne de ce nom, pour par la suite maitre en œuvre son plan de vengeance.

L’IMAGE

Le split screen :

1-      Il y a un split screen, lorsque Black mamba est à l’hôpital plongé dans un coma et que Elle Driver (une de ses ennemis) se prépare à aller la tuer dans son sommeil en lui injectant du poison, lors du split screen on voit du côté gauche Black mamba allonger sur son lit, immobile. Du côté droit, on voit Elle Driver siffler une mélodie tout en marchant et se préparant à aller tuer son ennemie. (00 :21 :43)

2-      Il y a un autre split screen lorsque Black mamba, dans le restaurant japonais, appelle O-Ren Ishii pour lui dire qu’elles ont un compte à régler. Dans ce split screen, on voit à droite, le visage d’O-Ren Ishii qui se retourne lorsqu’elle entend son ennemie l’interpeler et à droite, on aperçoit un très gros plan sur la bouche de Black mamba qui est entrain de lui faire mention de leur compte à régler. (01 :14 :07)

Entrée dans le champ : Il y a un entrée dans le champ du personnage principale, lorsqu’elle est en  en moto jaune et toute habillée en jaune, s’apprêtant à suivre la meilleure amie d’O-Ren Ishii dans les Rues de Tokyo. (01 :06 :05)

Sortie du champ : Il y a une sortie du champ, lorsque le jeune Yakusa fini de descendre les marches de l’escalier du restaurant japonais de Tokyo, en courant, juste après s’avoir faite donner la fesser par Black mamba. (01 :28 :15)

Le champ-contre-champ : Il y a un champ-contre-champ, lorsque Black mamba discute avec Hattori Hanzo des raisons qui l’amènent à Okinawa. Ce champ-contre-champ ce passe dans le petit magasin d’Hattori Hanzo. (00 :49 :25)

Le hors-champ ou regard hors-champ : Il y a un regard hors champ, lorsque la meilleure amie de O-Ren Ishii regarde vers celle-ci qui est perchée en haut des escaliers du restaurant japonais, avec un regard plein d’inquiétudes, car Black mamba s’apprête à la mutiler. (01 :13 :52)

Grande profondeur de champ : Il y a une grande profondeur de champ sur la sale principale du restaurant japonais, lorsqu’on voit tous les morts et les amputés gisant au sol, pendant que Black mamba leurs dit de laisser leurs membres là et de partir, sauf la meilleure amie d’O-Ren Ishii qui doit rester là. (01 :29 :32)

Faible profondeur de champ : Il y a une faible profondeur de champ, lorsqu’on voit Tanaka (un des membres du conseil du crime japonais) au bout de la table du conseil, frustré qu’une métisse sino-américano-japonaise soit à la tête du conseil du crime japonais. (01 :01 :42)

LE PLAN

Plan-séquence : De (01 :11 :24) à (01 :13 :17) il y a un long plan-séquence, durant ce plan séquence on suit différents personnages se promenant dans le restaurant, pendant que le groupe de musique jouait une chanson .Le plan-séquence à la même durer que la chanson.

Les plans descriptifs

Le plan de grand ensemble : Il y a un plan de grand ensemble sur la ville de Tokyo, lorsque l’avion dans lequel se trouve Black mamba, arrive au-dessus de Tokyo. (01 :05 :24)

Le plan d’ensemble : Il y a un plan d’ensemble sur le quartier où Black mamba à tuer Vernita Green, lorsque Black mamba part dans le PUSSY WAGON après avoir quitté la maison de Vernita Green. (00 :16 :02)

Les plans narratifs

Le plan moyen : Il y a un plan moyen, lorsqu’on aperçoit le personnage principal se diriger vers la porte d’entrée de la maison de Vernita Green, en passant sur le gazon jonché de jouets pour enfants de celle-ci. (00 :05 :34)

Le plan américain : Il y a un plan américain lorsque le personnage principal (Black mamba) et l’ennemie de celle-ci, une femme d’origine afro-américaine (Vernita Green) se livrent un combat au couteau et que la petite fille de l’ennemie de Black Mamba entre et demande à sa maman ce qui ce passe. (00:08:31)

Le plan rapproché taille : Il y a un plan rapproché taille, lorsque Black mamba est assis dans un petit commerce japonais et que les deux japonais qui s’occupent de ce commerce (Hattori Hanzo et son employé) se disputent à propos de qui sert le saké. (00 :49 :15)

Le plan rapproché épaule : Il y a un plan rapproché épaule sur le personnage principale, lorsqu’elle se procure un allé simple pour Okinawa. (00 :45 :12)

Les plans psychologiques

Le gros plan : Il y a un gros plan sur le visage du personnage principal, lorsqu’elle est cachée dans une petite cabine et qu’elle observe la meilleure amie d’O-Ren Ishii qui parle au téléphone devant un miroir. (01 :12 :58)

Le très gros plan (insert) : Il y a un très gros plan sur les clés du camion de Buck, l’infirmier mal honnête, les clés on comme porte clé  roses où il est écrit en gros : PUSSY WAGON. (00 :32 :49)

Le plan subjectif : Il y a un plan subjectif, lorsque le shérif arrive en auto à la scène de crime où Black mamba et 8 autres innocentes personnes ont été tués lors de la cérémonie de mariage de celle-ci. Lors de ce plan subjectif, c’est comme si nous étions les yeux du shérif qui arrive en auto. (00 :17 :24)

Les angles de prises de vues

La vue en plongée : Il y a une vue en plongée sur Black mamba, Lorsqu’elle est accrochée à la rampe de l’escalier du restaurant japonais à un seul bras, après savoir fait poussez par-dessus celui-ci par le chef de l’armée d’O-Ren Ishii. (01 :28 :20)

La vue en contre-plongée : Il y a une vue en contre-plongée sur O-Ren Ishii, lorsqu’elle remet son Katana dans son étui, après avoir coupé la tête de Tanaka qui venait de la traiter de saloperie de métis. (01 :03 :27)

Overhead shot : Il y a un angle de prise de vue en overhead shot, lorsque Black mamba et son ennemie, Vernita Green, entrent dans la cuisine pour prendre un café, car la fille de Vernita Green les a surprises en train de se battre au couteau quelques minutes avant. (00 :10 :20)

Les mouvements de caméra

Panoramique horizontal : Il y a un panoramique horizontal sur la chambre d’hôpital où  Black mamba est dans le coma depuis 4 ans. Dans ce panoramique, on aperçoit deux autres personnes résident dans la même chambre, ces deux autres personnes ont eux aussi l’air d’être dans le coma. (00 :25 :32)

Panoramique vertical : Il n’y en a pas.

Panoramique circulaire : Il y a un panoramique circulaire, lorsque Black mamba se bat contre l’armée de Yakusa dans le restaurant japonais et quelle tourne sur le dos en coupant les pieds de ses ennemis. Ce panoramique circulaire est filmé en overhead shot. (01 :26 :06)

Le travelling avant : Il y a un travelling avant lorsqu’ O-Ren Ishii et ses disciples entrent dans le restaurant japonais à Tokyo. Dans ce travelling avant, on suit O-Ren Ishii, on voit alors sa nuque, sa tête, ses cheveux et le manche de son Katana. (01 :08 :04)

Le travelling arrière : Il y a un travelling arrière lorsqu’Elle Driver, vêtue en entier de blanc excepté un parapluie rouge, marche dans le corridor de l’hôpital où se trouve Black mamba, en sifflant une mélodie. (00 :20 :23)

Le travelling vertical : Il y a un travelling vertical, lorsque Black mamba essaye de se hisser sur la banquette arrière du camion de Buck, le PUSSY WAGON, dans le parking de l’hôpital où elle vient tout juste de sortir en chaise roulante et en jaquette d’hôpital. (00 :31 :01)

Le travelling latéral : Il y a un travelling latéral, lorsque Black mamba observe tous les Katanas d’ Hattori Hanzo dans le grenier du petit magasin de celui-ci. Lors de ce travelling latéral, on voit le personnage principal se promener de droite à gauche en regardant les Katanas, la caméra film le personnage principal de face, elle est positionnée derrière les katanas. (00 :52 :10)

Le travelling circulaire : Il n’y en a pas.

Zoom avant : Il y a un zoom avant sur le visage figé de Black mamba, lorsqu’elle se réveille en sursaut après savoir faite piquer par un moustique, dans son lit d’hôpital. (0 :25 :44)

Zoom arrière : Il n’y en a pas.

La caméra épaule : Il n’y en a pas.

LES EFFETS VISUELS

La vue en amorce : Il y a une vue en amorce, lorsque l’on voit Black mamba entrée dans le jardin enneigé, où elle et O-Ren Ishii vont éventuellement s’affronter, on aperçoit à ce moment-là une vue en amorce, puisque la tête d’O-Ren est dans le champ de la caméra lorsque la caméra film l’entrée de Black mamba dans le jardin et qu’O-Ren l’interpelle. Cet effet visuel nous donne l’impression que Black mamba est plus loin qu’elle ne l’est vraiment. (01 :30 :31)

L’effet de reflet : Il y a un effet de reflet, lorsque l’on voit le reflet des yeux de Sophie (la meilleure amie d’O-Ren) dans le rétroviseur intérieur de l’auto qu’elle conduit, pendant que Black mamba l’observe depuis sa motocyclette. (01 :06 :23)

L’effet de portail : Il n’y en a pas.

L’effet d’interdépendance : Il n’y en a pas.

Critique :

J’ai beaucoup aimé ce film. J’ai apprécié la diversité des plans, des mouvements de caméra et des changements de couleurs ou de lumière, surtout lors de la bataille contre l’armée d’O-Ren, par exemple : changer la couleur en noir et blanc en plein milieu de l’action ou encore filmer la bataille dans le noir ou en overhead shot. J’ai aussi beaucoup aimé le récit divisé en plusieurs chapitres, même si ce n’étais pas une narration linéaire, cela faisait différent de la majorité des films. De plus, j’aime beaucoup le style un peu exagérer de Tarantino. Ça allège le film, car c’est un film très violent, mais l’exagération des effusions de sang, par exemple, ou encore de l’habiliter incroyable du personnage principale vient amener un peu d’absurdité à toute cette violence. Sans oublier les effets sonores et la musique qui accompagnent les actions violentes du film, tout ça rend le film plus accessible et moins lourd, car sans ces exagérations ce film ne serait pas aussi bon et unique, il serait simplement un film violent américain, comme plusieurs autres. Cependant, avec tous ces effets visuels et sonores, la violence du film ne semble pas vraiment réelle, elle prend même un air un peu de bande dessiné, ce qui rend le film vraiment bon et original. Bref j’ai vraiment beaucoup aimé le volume 1 de Kill Bill et j’ai déjà hâte de voir le deuxième volume.